VIDÉO | De La Rochelle à la Malaisie : un stage international sous le signe de l’innovation, raconté par Wendy, étudiante ingénieure en BTP
Dans cette page :
- À la rencontre de Wendy
- Une expérience enrichissante que Wendy n’oubliera sans doute jamais !
- La mobilité internationale : une priorité pour CESI
Wendy est étudiante en 5e année du cursus ingénieur BTP sur le campus CESI de La Rochelle. Elle revient sur sa 4e année, rythmée par une mission à l’international de quatre mois, qu’elle a effectuée seule en Malaisie. Elle nous partage son retour d’expérience, en évoquant sa préparation, le soutien apporté par CESI, sa mission en Université, ainsi qu’une anecdote et son meilleur souvenir !
Découvrez son témoignage en vidéo !
Cette mission à l’international, c’était génial, une expérience incroyable. Je me suis découverte moi-même et j’ai découvert un pays, pour être honnête, que je ne connaissais pas du tout !
Wendy
À la rencontre de Wendy
Un départ bien préparé pour un stage international réussi
Pour accompagner les étudiants et les aider à organiser leur stage international de quatre mois, l’équipe du campus CESI de La Rochelle a organisé une réunion de lancement, ainsi qu’un Country Dating : une journée où les étudiants en 5e année, qui sont revenus de stage, rencontrent les étudiants de 4e année, qui eux, doivent se préparer à partir. Choisir un pays, trouver une entreprise, chercher un logement, obtenir un financement, l’organisation… les conseils et retours d’expérience sont au cœur des conversations.
« On a échangé avec eux, c’était super intéressant de voir les différents pays qui ont été visités, voir les différentes expériences. […] J’avais envie de saisir cette occasion pour pouvoir découvrir un nouveau continent, et donc un nouveau pays. » explique Wendy.
Coquilles d’œufs et génie civil synonymes de Recherche et innovation
Les étudiants qui partent en stage international sont libres de choisir l’entreprise et le domaine qu’ils souhaitent. Wendy a choisi de rester dans un domaine qu’elle maîtrise : celui du BTP. Elle a donc combiné sa mission à l’internationale avec son stage d’initiation à la Recherche, qu’elle devait effectuer également lors de sa 4e année d’études.
Elle a ainsi choisi d’intégrer une Université en Malaisie, où elle a pu confectionner son propre béton bas-carbone « en se focalisant sur les coquilles d’œufs, le déchet mondial alimentaire que tous les pays produisent » souligne Wendy. Sur ces quatre mois de stage, elle a donc passé près d’un mois et demi en laboratoire à tester et analyser ses résultats.
N’ayez pas peur, foncez ! Je sais que ça fait peur de partir seul, mais partez seul !
Wendy
Une expérience enrichissante que Wendy n’oubliera sans doute jamais !
Pour son stage international, Wendy a choisi de partir seule. L’occasion pour elle de faire des découvertes et surtout des rencontres : « Vous allez juste grandir de cette expérience, et c’est vraiment un électrochoc, je pense nécessaire, pour pouvoir avancer. Ça vous permet de réfléchir, et de savoir ce que, vous, vous voulez, et pas ce que la société vous impose. » conseille Wendy aux étudiants prêts à partir en mission à l’international.
Son anecdote
Grâce à l’une de ses rencontres en Malaisie, Wendy a pu intégrer un club de danse sélectionné pour un concours national. Avec son visa étudiant, elle a eu la chance de pouvoir, elle aussi, participer à cet événement et « expérience de ouf, on a gagné ce concours ! » nous indique Wendy. Par ailleurs, le Premier Ministre Malaisien a demandé, à Wendy et son équipe de danse, de participer à l’un de ses festivals !
« Je pense que si je n’avais pas été seule, je n’aurais jamais eu l’occasion de rencontrer ces personnes et donc de vivre cette expérience complètement hallucinante » nous confie-t-elle.
Son meilleur souvenir
Partir à l’étranger, c’est aussi l’occasion pour nos étudiants de découvrir un pays qu’ils ne connaissent pas à travers la langue, la culture, la gastronomie, les infrastructures, mais aussi des paysages grâce à des excursions.
Pendant son séjour, Wendy a choisi de visiter une petite île où était proposée une séance de plongée. Coup de chance : elle était la seule inscrite, et elle a pu profiter d’un cours personnalisé, durant lequel elle a pu s’allonger au fond de l’eau avec une tortue, croiser des requins, des raies… et découvrir toute la faune et la flore sous-marine de la Malaisie.
« C’était magnifique ! Le monde de Némo en vrai de vrai, c’était incroyable, moi toute seule, dans ce paysage paradisiaque et limite irréel ! » se souvient Wendy avec émotion.
La mobilité internationale : une priorité pour CESI
L’ouverture au monde fait partie intégrante du projet pédagogique de CESI. Selon votre statut et votre formation, vous passez au minimum 12 semaines à l’étranger pendant la 4e année de la formation d’ingénieur : vous pouvez effectuer un stage en entreprise ou en laboratoire de recherche, partir en échange académique dans une université partenaire ou en parcours bi-diplômant. La mobilité internationale est en effet obligatoire pour l’obtention du diplôme d’ingénieur, mais à CESI nous considérons que cette obligation constitue une formidable opportunité.